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La réincarnation – une grâce de la Vie
Brochure gratuite de la série : "Le message de la vérité"
Artikel-Nr.: G310FR
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Extrait :
La croyance en la réincarnation remonte aux débuts de l’humanité. Plus de la moitié des êtres humains considère la loi de cause à effet et l’idée que l’on puisse s’incarner à plusieurs reprises comme tout à fait naturelles. Cette croyance se retrouve dans toutes les cultures, pas seulement dans les cultures orientales, comme le bouddhisme et l’hindouisme.
La pensée de la réincarnation faisait partie de la philosophie grecque, on la trouve chez Pythagore et Platon ; elle existait en Égypte, et il y a toujours eu de grands penseurs et de grands poètes pour qui il est évident que nous avons la possibilité de vivre plusieurs fois sur terre pour nous purifier. À l’époque où vivait Jésus, la réincarnation était partie intégrante de la croyance populaire juive.
Schalom Ben Chorin, un théologien juif, écrit ceci (traduit de l’allemand) : « Au sein du judaïsme contemporain de l’époque de Jésus, la pensée de la réincarnation imprégnait indubitablement la croyance populaire… C’est ainsi que parmi le peuple, certains pensaient que Jésus était un des anciens prophètes ressuscités. » (Luc, 9, 8 et 19)…
Dans les premiers temps du christianisme des origines, de nombreux écrits considérant la réincarnation comme une évidence circulaient de main en main, comme la « Pistis Sophia », un des Évangiles apocryphes (c’est-à-dire cachés), dans lequel Jésus dit, au sujet du retour d’une âme, revenant de l’au-delà, dans un corps humain, qu’elle « boit la coupe contenant le breuvage de l’oubli. ».
Ces écrits, comme bien d’autres encore, n’ont pourtant pas été retenus dans le canon officiel de la Bible de l’église. L’église hégémonique qui était en train de voir le jour, bien qu’elle n’ait pas été fondée par Jésus de Nazareth, commença à la fin du IIe siècle à sélectionner certains textes. Ce n’est qu’à la fin du IVe siècle que ce processus de sélection toucha à sa fin. (…)